Sur les deux guerres qui nous guettent…… Je wanda!

Posted on avril 8, 2012

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Sur les deux guerres qui nous guettent…… Je wanda!

“Emancipate yourself from mental slavery, none but ourselves can free our mind». Si tu n’as pas compris, don’t worry! C’est normal. Pour piger ça, il faut avoir d’abord manger un peu de légumes. En langage plus terre à terre, il faut avoir fumé quelques brins de ganja…de Njap ( Si tu n’as toujours pas  compris  mon frère je ne peux plus rien pour toi..faut retourner te ressourcer au Kamer même même). Alors depuis des décennies que Bob Marley himself a écrit cette petite phrase  jusqu’à partir sa chose dans l’au-delà, on a l’impression que l’Afrique n’a toujours pas compris. Il est vrai que quatre cents années d’esclavage, ça vous laisse des traces  jusque dans les chromosomes. Il va donc être plutôt cocasse d’extirper de notre tête les différents complexes dont nous avons hérités. On a beau jacasser et découvrir en 2012 que les «Blancs» ne nous aiment pas, que nous avons le droit et le pouvoir de nous occuper de nos propres intérêts et de choisir comme partenaire les Chinois. On a beau claironner notre Africanisme opportuniste à la veille d’élections  quand le support des occidentaux tarde à venir, notre comportement quotidien parle plus que nos paroles. On aspire à la «liberté» et on parle de démocratie déjà apaisée sans même avoir amorcé le début du virage qui ralentira notre descente aux enfers! On peut toujours rêver mais nous devons savoir  que notre liberté et le respect qui vient avec, que ce soit à l’échelle de l’individu ou à l’échelle d’une nation, notre liberté disais-je ne peut être acquise qu’à travers une longue bagarre. Une lutte sans merci et que dis-je? Pas une mais deux véritables guerres auxquelles nous n’échapperons pas! D’ailleurs personne n’y échappe, même ceux qui se croient les maitres du monde n’en ont pas encore fini! Pour  preuve, les prisons surpeuplées et la paranoïa sécuritaire ambiante!

Et avant même que ne démarrent ces guerres,  il faudrait déjà s’assurer que l’on ne se trompe ni du timing, ni d’adversaire. Parce que certains de nos héros ont payé de leur vie le fait de n’avoir pas  suffisamment wanda avant de se lancer. Ils se sont trompés de timing et sont allés plus vite que la musique. Ils se sont retrouvés seuls, victimes de la cinquième colonne (si tu ne connais pas; tu Googles comme d’hab!), morts dans l’indifférence totale de ceux-là même pour qui ils se battaient! Tu wandas déjà nessah? Pour commencer, il ne faut pas dire que moi je demande aux gens d’aller bagarrer et  s’entretuer hein. Non moi oh. Pas tout de suite en tout cas. Chaque chose en son temps. Et si tu as trop peur, tu te suicides une fois!

«Vous aviez le choix entre le déshonneur et la guerre, vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre». C’est le grand Churchill lui-même qui a dit ça en 1938 à ses amis Français après que ces derniers aient baissé la culotte pour laisser Hitler envahir l’Europe de l’Est. Ils croyaient calmer le gars en sacrifiant les autres. La suite, nous la connaissons. Du moins, ceux qui ne dormaient pas quand  on enseignait la deuxième guerre mondiale en classe de Troisième. Tonton Popol a dit l’autre jour avant son départ pour un énième bref séjour privé aux frais publics du contribuable Camerounais, que les Camerounais avaient fait le choix de la paix en le remettant au pouvoir pour sept nouvelles années. Selon un slogan qui capitalise à lui seul la réussite ou ce qui semble l’être de trente années de gouvernance bien sonnée! Je ne reviendrai pas sur ces trente années considérant qu’il y a déjà vingt millions de Camerounais qui s’occupent de wanda dessus à plein temps, à tort et à travers, en français, en anglais, en deutsch, en russe et même en mandarin, de tous les horizons de la terre où ils se sont réfugiés. Et si ces chers Camerounais c’est-à-dire les nous-là, nous espérons échapper à notre destin en mettant la peur dans le siège chauffeur, ce n’est pas cela qui nous sauvera des deux guerres qui nous guettent au détour du chemin. Quelqu’un disait que l’état de guerre se définit aussi par le nombre de morts par jour dans une région. Si j’additionne les victimes de bend-skin, de l’axe super lourd Douala-Yaoundé-Bafoussam, les victimes des agressions et des représailles engendrées, les lynchages publics, le Sida et ses dérivées les plus avouées (il est mort d’une infection pulmonaire, il est mort de suite d’une méningite, crise cardiaque, longue maladie mystérieuse… Il est mort comme ça Mkwak! Alors qu’il n’était même pas malade. Yemalek!), les innombrables erreurs médicales et les «laissés-pour-mourir» pour faute de gombo. Si on comptabilise tout ça, on peut dire sans risque de se tromper que ça fait bien longtemps que nous sommes déjà en pleine guerre! Ce n’est donc pas en se voilant la face ou en cherchant des boucs  émissaire  que nous échapperons à notre destin. On a même beau choisir le déshonneur pour   éviter  de lutter que  ces  combats s’imposent a nous.

La vie est un combat !. Un combat contre nous-mêmes d’abord pour nous définir et établir qui nous sommes et ensuite un combat contre les autres pour définir et acquérir notre place dans le conseil des civilisations. Nos victoires  et nos  défaites  déterminent l’altitude que nous atteindrons à la fin de notre existence en tant qu’individu ou la place que nous aurons dans le cours de l’histoire en tant que nation.

La Bible (que je connais un peu hein et j’avoue que je ne connais que ce qui m’arrange comme toi. Si tu vois ce que je veux dire). Je disais donc que la Bible, le Coran (que je ne connais pas ohhhh. Toi je ne sais pas?), le Bouddhisme (que je regarde seulement comme toi. Tu vois que tu n’es pas le seul à ne pas connaitre grand-chose). Voilà alors, à force de précision, je me suis moi-même perdu en route   dans ma wandayance. C’est souillant hein. Comme dirait un candidat aux élections présidentielles du Cameroun. Je recommence!.

Je disais que depuis que Dieu envoie sur terre des gens pour nous parler là, (les Mohammed oh, les Bhudha oh, Jesus himself…) Ils  disent  tous la même chose ou presque. Dans des langues différentes bien sûr. Ils nous disent que notre premier ennemi c’est nous-mêmes. Même le petit dernier Socrate-là, il   disait que « Gnothi seauton » dans sa langue natale qui ressemble au Bafang là! Ce qui veut dire «connais toi toi-même!» En effet, la toute première guerre à faire est celle que nous devrons mener contre nous-mêmes comme individu ou comme nation. Tu wandas déjà hein. Tu te demandes comment un homme de paix comme toi-là, tu vas bagarrer avec toi-même.

Chaque instant de notre vie est déterminé par cette véritable auto-guerre latente que nous faisons parfois même à notre insu. Depuis le levé du lit quand tu commences à bagarrer avec ton propre  sommeil, tu accuses ton réveil de tous les mots. Tu bagarres avec toi-même pour ne pas sortir de ta  voiture et tabasser le Benskineur qui te double à droite, au risque de te faire tabasser toi-même déjà .Tu bagarres avec toi-même pour ne pas répondre au mail énervant que ton collègue à envoyer au boss. Tu bagarres avec toi pour ne plus te laisser contrôler par le bâton de cigarette qui t’oblige à sortir du bureau toutes les vingt minutes. Tu ne peux t’empêcher de sourire à la petite stagiaire Lewinski ou la femme de chambre Aissatou alors que tu sais bien comme ça va finir!

C’est une guerre intime mon frère. Cette bataille rangée dont personne d’autre n’est au courant. Quand il faut décider de fouler aux pieds tes propres convictions pour assouvir certains désirs? Faut-il accepter les avances du boss pour obtenir une augmentation? Faut-il entrer dans les loges pour devenir quelqu’un? Faut–il pactiser avec le diable pour devenir populaire? Là, c’est toi contre toi-même.

C’est une guerre qui indépendamment de ta volonté détermine toutes les actions et les choix de ta vie. Du degré de victoire que nous avons sur nous-mêmes dépend l’image que nous nous faisons de nous. Et de cette image dépendent entièrement les choix et les décisions que nous prenons en tant qu’individu au jour le jour, des plus anodins aux plus importants. Si une belle petite passe dans une grosse voiture, tu peux te dire directement que celle-là me dépasse parce que tu considères qu’une belle petite dans une grosse voiture comme ça, ça dépasse ton niveau ou plus précisément le niveau que tu penses à tort ou à raison être le tien. Et dans ce cas, tu tournes toi ton regard ailleurs. Mais si au contraire dans ta tête, tu es sûre que toi-même tu es quelqu’un et que tu  « peux » comme disait Douleur, tu fonces sans hésiter. La vie appartient aux courageux. Même si ce courage est basé sur le vide. Ta réaction dépend donc entièrement de l’image que tu as de toi-même. (En passant mes sœurs, il ne faut pas souvent trop nous montrer votre réussite hein, parce que les nous-là, on est macho de naissance et une femme qui a trop réussi et qui est trop sûre d’elle là. Hum ça nous fait peur et c’est comme ça que tu finis seule. Il faut temporiser dek! Fermons la parenthèse!). Nos actions parlent donc plus et malgré nous. Quand un gars descend au pays et se choisit une belle et bonne femme, le genre qu’il n’aurait jamais approché s’il était un amateur local comme les nous-là. Ceci avec pour seul argument sa mbenguicité. Cela traduit la place que cette mbenguicité représente dans son subconscient et donne aussi une bonne idée des compromis qu’il a pu faire pour l’acquérir. Ce qu’il oublie c’est qu’une fois la femme arrivée à Mbeng, elle hérite elle aussi de la même mbenguicité de départ et se tourne rapidement vers ceux qui ont plus que de la Mbenguicité à offrir. Quand un jeune intellectuel avec un bon salaire, se tourne systématiquement vers une femme illettrée et notoirement dépendante à vie de lui, cela peut traduire le manque de confiance maladif que le gars couve lui-même malgré son intellect, son pognon et sa bonne vie. Et il aura beau discourir sur ses diplômes et arborer fièrement ses titres, ses gestes traduiront malgré lui son insécurité latent. Think again!

Nous aspirons tous à être des grands hommes, des modèles pour nos enfants, pour la société, nous voulons être des hommes ou femmes courageux, travailleurs, fidèles. Mais sommes-nous seulement capables de nous imaginer dans cette peau? Je ne demande pas si nous sommes capables de le devenir. Mais seulement de nous imaginer? Comme disait un ami Pasto, que voyons-nous quand nous fermons les yeux? Je dis que hein. Qu’est-ce-que toi-même tu vois quand tu fermes tes yeux? (Pardon, lis la suite avant de fermer hein.) Je demandais que quand tu fermes les yeux-là: qu’est ce que tu vois? Te vois-tu toi-même en homme fidèle qui résiste à tous les kabas qui se lèvent à Deido  juste parce que tu peux encore t’acheter une bière dans la misère ambiante. Ou bien tu te vois dans une auberge avec la fille du voisin? Est-ce-que tu te vois en homme courageux capable d’assumer le poids de ses convictions ou bien tu te vois en train de donner ton derrière pour être dans la classe dirigeante? Faut  faire attention à ce que l’on imagine oh. Comme disait Krotal souvent «le diable est à tes côtés en train de t’écouter et prêt à tout exaucer».

Toute action ou réalité commence par l’imagination. On aura beau chanter que Liberté est montée, démocratie est descendue, sommes-nous seulement capables de nous imaginer en hommes libres? That is the Queschion! Du coup, je me demande ce que peut bien voir un Président Africain quand il ferme les yeux. (Surtout notre petite clique d’Afrique Centrale-là qui se ressemble tous  d’ailleurs). Que voient donc nos présidents quand ils ferment les yeux? Voient-ils des autoroutes qui relient les capitales Africaines, des grands hôpitaux dans leur pays, des grandes écoles pour former les médecins ou bien ils voient des suites des grands hôtels de France ou de la Suisse où ils séjourneront avec leurs femmes blanches? Sont-ils seulement capables de voir dans leur imagination autre chose que la misère ambiante en total contradiction avec le niveau de richesse humain et matériel de leurs pays?  Ils peuvent faire tous les discours possibles, se tourner ou se retourner contre la France avant pendant ou après les élections, invoquer l’africanisme à tort et à travers quand la reconnaissance internationale tarde à venir. Leurs actes parlent plus que leurs paroles et traduisent bien le degré de victoire qu’ils ont réussi à avoir sur eux-mêmes en tant qu’individu. Un chef d’état qui claironne chaque jour «vive mon pays, vous êtes le fer de lance..de bla bla bla » et  de je ne sais quoi et qui entretemps accumule sa fortune hors de son pays, envoie ses enfants hors de son pays et s’arrange même pour qu’ils prennent la nationalité du pays d’accueil, traduit mieux  sa vision de son propre pays à travers ces actes que toutes les paroles.

A l’échelle de la nation c’est malheureusement la même chose. Avant de chercher le démon extérieur, le peuple doit d’abord livrer bataille avec son premier ennemi. C’est à dire lui-même. On a beau crier liberté, démocratie blablabla, le comportement de la masse traduit mieux l’image qu’a une nation d’elle-même. Il n’y a pas longtemps, je jurais par tous les diables que le Mali avait traversé le point de non-retour en démocratie et que personne ne pouvait même plus s’amuser à faire un coup d’état. Nous  voilà aujourd’hui. Le coup d’état le plus stupide que le monde ait connu. A trois semaines des élections, pour soi-disant défendre l’intégrité du pays. Résultat: au bout d’une semaine, les villes du nord tombent sans glisser. Et le peuple, ce valeureux peuple qui a goutté pendant 20 ans à la démocratie. Et bien la démocratie-là, on dirait que c’était seulement pour ATT tout seul. A en juger par la passivité du peuple  face à ces clowns de mutins. Une passivité digne de camerounais! En tout cas, le peuple Malien n’y était pas encore.  ATT a peut-être cru trop tôt que son peuple avait besoin de démocratie. Timing qui a dit  timing? Pour ne pas dire que lui-même a tout fait bon ! ..Loin de la.  La politique  Africaine du consensus á tout prix et á tous les prix…On appelle sont parcours la «  Échec de la vie par  l’incapacité de dire NON..Peur  de la confrontation ». Je le soupçonne  d’ailleurs  d’avoir voulu refiler la patate chaude à un autre  et se barrer en douce ! Passons… Parfois une bonne dictature vaut mieux qu’une mauvaise démocratie. Anyway. La Chance Gudllock qui voulait déloger Gbagbo avec la force-là, je l’attends toujours et je ne la vois pas. C’est vrai que chez lui-même, les islamistes ne le laissent pas tranquille. CEDEAO…nous y voila !

Le Cameroun a beau être reconnu mondialement pour son football. Il ne faut pas chercher longtemps pour savoir la valeur intrinsèque que nos chers dirigeants donnent à ces footballeurs et  entraineurs Camerounais. Le Cameroun aligne d’année en année des entraineurs donc souvent le seul mérite est d’être «blanc»! On ne se gêne pas à leur payer les salaires fous qu’on ne donnerait pour rien au monde à un compatriote. On va donner  un tel salaire  à des nationaux  que  quoi ? Que ça  a commence comment ? N’est-ce-pas on a grandi ensemble à Koulouloun là-bas? Il veut montrer quoi? Une fois ils ont été obligé par les circonstances à choisir un entraineur local. Eh bien, ils n’ont pas fait mieux que d’en nommer quatre à la fois. Quatre entraineurs à la fois à la tête de l’équipe nationale! Wandafoot. Voilà, si vous vouliez comparer un entraineur européen à un entraineur camerounais, vous pouvez maintenant facilement faire le calcul. Leur cerveau de ministre et président de la feca-machin n’avaient pas calculé que quatre chauffeurs dans une voiture ça mène tout droit dans le décor.

Les grands hommes de ce monde sont ceux qui ont réussi à gagner la guerre contre eux-mêmes, contre leur peur, leur faiblesse, leur orgueil, leur chair. Appelle ça comme tu veux mais il faut déjà la gagner cette première guerre. Et la victoire se traduit par la fierté d’être ce que l’on est, de l’assumer   pour vivre ce que l’on croit. Au niveau de la nation, cette autodiscipline se traduit par le respect mutuel entre citoyens, la fierté d’appartenir à une culture et à un pays. C’est cet état d’esprit qui amènera les autres peuples et nations à nous donner naturellement la seule chose dont nous avons réellement besoin  depuis la nuit des temps : Le Respect !

Make no mistake !. Quand cette première bataille aura été gagnée ou sera en passe de l’être, alors  s’offrira à nous une autre encore plus brutale. Car comme disait quelqu’un, c’est quand la marée baisse que l’on sait qui était nu! Ta liberté s’arrête où commence celle des autres. Et l’inverse devrait être vrai. La liberté des autres s’arrête où commence la nôtre. Mais seulement voilà, nous n’avons jamais été libres. En tout cas pas dans un passé récent. Nous avons donc laissé vacant notre espace de liberté et comme la nature a horreur du vide, certains s’en sont accaparés. Du coup, pour que nous soyons libres, il faudra  que l’espace de liberté des autres qui avaient usurpé du nôtre se réduise! (C’est mathématique! – Pas de Petit Pays?). Je vous laisse donc deviner que personne ne nous fera de cadeau. C’est à ce moment que nous découvrirons que nos pères collaborateurs…….Lapsus…. je voulais dire nos pères fondateurs ont hypothéqué l’Afrique pour le restant de son existence et que la moitié des terres a été louée aux Chinois pour quatre vingt dix-neuf ans pour payer les intérêts sur le Capital de la dette qui augmente! Puisque les signataires eux-mêmes n’auront en réalité jamais vraiment lu les contrats. Nous devons bien prendre conscience que notre pays ne fait que partie du gros  Gâteau terrestre et la course effrénée de certains « Grands pays » vers  ce qu’ils appellent la croissance les a poussée à bousiller tout ce qui était en dessous et au-dessus de leur propre terre. Ils doivent donc se trouver d’autres espaces vitaux. Alors malheur à «celui qui occupe la terre inutilement». Luc 13.6.- (Je t’ai dit que je connaissais la bible non… Tu croyais que je blaguais? Lol). Avec la prise de  conscience d’un peuple dominé par rapport à l’autre dominateur, le monde de la prédation prend une dimension plus claire. Plus question aux PPTE d’inspirer la pitié, d’ailleurs leurs dettes n’appartiendront même plus aux créanciers de départ, les autres états, mais seront vendus à des créanciers rapaces  prêts à tout pour récupérer leur magot! Guerre et mercenariat si nécessaire.

A ce moment, nous aurons le choix entre le déshonneur et la guerre pour de bon! Soit supplier et pleurnicher comme d’habitude pour que les chinois nous laissent vivre sur nos terres et ne pas être  expulser vers la lune pour loyer non payé ; ou confronter nos créanciers et les trainer devant nos propres tribunaux pour complicité de vol aggravé car nous cherchons toujours les réalisations qui ont été faites  avec tout cet argent emprunté. On ne voit pas! Rappelons nous que choisir la guerre ou le deshonneur  abouti finalement à la meme chose…

Dans ce monde de prédation, chaque état se bat pour la pérennité de son peuple, quitte à exterminer les peuples d’en face. On peut choisir de se laisser manger tranquillement par les prédateurs. Cela aura peut-être pour effet de raccourcir la souffrance mais la finalité sera la même. Se faire bouffer! N’allez surtout pas dire que j’appelle ou que j’aime la guerre. Quelqu’un disait qu’on sait quand ça commence mais on ne sait pas quand ça finit. La mienne me dépasse sérieusement. Je ne fais pas l’apologie d’une quelconque guerre. Je  wandas moi seulement ma chose!

WANDAMAN (Big up big up…Special  dédicace à  ma relectrice…Tusen takk!)

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